La vie d'une jeune fille https://beyonthesky.journalintime.com/ fr 2016-06-09T18:35:59+02:00 https://beyonthesky.journalintime.com/noyee noyée Je ne sais pas. Ce sont les seuls mots qui me parviennent à l'esprit lorsque je pense à ma situation actuelle. J'ai cette impression que tout me passe par dessus sans pouvoir faire quoi que ce soit et c'est frustrant. Très frustrant. Comme si quelque chose de primordial allait se produire en ce moment même mais que je n'avais pas les capacités nécessaire pour pouvoir l'atteindre. Je ne supporte pas. Je demande à celui qui me surveille de toujours tenir le rôle qu'il détient en ce moment même. Je demande un quelconque signe. N'importe quoi. Quelque chose qui me montre qu'il est ici, Je ne sais pas.
Ce sont les seuls mots qui me parviennent à l’esprit lorsque je pense à ma situation actuelle. J’ai cette impression que tout me passe par dessus sans pouvoir faire quoi que ce soit et c’est frustrant. Très frustrant. Comme si quelque chose de primordial allait se produire en ce moment même mais que je n’avais pas les capacités nécessaire pour pouvoir l’atteindre. Je ne supporte pas.
Je demande à celui qui me surveille de toujours tenir le rôle qu’il détient en ce moment même.
Je demande un quelconque signe. N’importe quoi. Quelque chose qui me montre qu’il est ici, depuis toujours.
Quelque chose qui me permettra de me donner les moyens nécessaires pour attraper la chance que je n’arrive pas encore à percevoir qui me permettra d’obtenir ce que j’ai toujours désiré dans ma lamentable existence.
Quelque chose qui me sortira de mes principes sordides, de mes pensées désastreuse.
Je dois attendre ce soir. Je dois lui appeler à l’aide.
Je ne veux pas qu’il parte.
Je ne veux pas.

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2016-06-09T18:35:59+02:00
https://beyonthesky.journalintime.com/seventeen seventeen Cela fait maintenant une semaine que je me retrouve avec cette merde dans le cou. L’échographie m'a permit de constater que j'avais un kyste infecté ou une connerie dans le genre qui s'est tranquillement posé dans ma gorge et qui vient déranger mon train de vie quotidien. J'ai du arrêté la cigarette du jour au lendemain pour ne pas avoir de complications, mais j'avoue avoir craqué et en fumer deux trois depuis vendredi. Cependant je sens que cela aggrave plus qu'autre chose et je vais devoir m'en passer encore quelques temps; ou voire arrêter complétement si la motivation me le Cela fait maintenant une semaine que je me retrouve avec cette merde dans le cou. L’échographie m’a permit de constater que j’avais un kyste infecté ou une connerie dans le genre qui s’est tranquillement posé dans ma gorge et qui vient déranger mon train de vie quotidien. J’ai du arrêté la cigarette du jour au lendemain pour ne pas avoir de complications, mais j’avoue avoir craqué et en fumer deux trois depuis vendredi. Cependant je sens que cela aggrave plus qu’autre chose et je vais devoir m’en passer encore quelques temps; ou voire arrêter complétement si la motivation me le permet réellement. Ce qui me tracasse le plus c’est que cette chose est apparue pendant mes révisions des examens et cela ne m’avantage pas du tout; la fatigue et la douleur étaient omniprésente parce qu’on ne m’a rien prescrit de particulier pour quelque chose d’assez important comme ça. Je me contente donc de dormir et de rester un légume.
Je ne suis pas allée en cours aujourd’hui afin de pouvoir m’avancer dans mes révisions. Mais cet épuisement physique joue particulièrement sur mon moral qui ne fait que s’épuiser et j’ai craqué en cours hier en début d’après-midi.
La douleur a engendré une crise d’angoisse et je me suis précipitée à l’infirmerie scolaire afin de ne pas craquer devant tout le monde. J’avais vu les deux infirmières trente minutes plus tôt avant de revenir une seconde fois dans un état déplorable.
Nous avions beaucoup discuté, surtout avec l’une d’entre elles. La deuxième se contentait de boire mes paroles avec une écoute certaine. Je me sentais écoutée. Elle ne disait rien mais son regard insistant sur moi me réconfortait tandis que l’autre femme parlait tellement que je n’avais presque pas possibilité de contester ses propos. Mon kyste nous a conduit à discuter de ma vie en général. Cela faisait longtemps que je n’avais pas fait de crise d’angoisse et je sentais que cette femme voulait taper dans mon point faible afin que je ressens la douleur que j’ai toujours enfermé dans un petit coin de mon cœur à l’abri du regard des autres. C’est mon silence qui me trahissait. Elle m’expliqua que je devais être une personne perfectionniste, à toujours vouloir faire le meilleur de moi-même, et avec les autres également. Je lui répondis qu’avec les autres oui, mais seulement quand je jugeais cela utile. Je suis une personne qui a toujours mis les autres de côté afin de pouvoir devenir une femme indépendante, ne dépendre de personne. Je ne peux pas faire confiance à quelqu’un, je ne peux pas parler de mes problèmes ou de mes états-d’âmes du moment à quelqu’un. Donc personne ne connait réellement mes pensées. Cette conversation s’en est suivit d’un problème que je n’ai jamais voulu m’admettre jusque maintenant : elle.
Je n’ai pas voulu expliciter la conversation et parler de cette fille. Mais ce problème que je ne pouvais pas régler toute seule; ma conscience a immédiatement penser à elle et mon cœur s’est soudainement rétracté afin que les larmes n’explosent pas.
Je me dois de l’écrire, même si l’égo n’apprécie pas. Mais en réalité, je me suis seulement donner énormément d’illusions. Je n’ai jamais pu me remettre de ce qu’elle m’a fait en septembre, je n’ai jamais pu me remettre de tout ce que mon cœur pourrait lui donner. Je me détruis pour quelque chose dont je me suis toujours dis que cela ne vaudrait jamais la peine.
C’est bien pour ça aussi que je ne voulais pas aller en cours aujourd’hui. Pour ne pas la voir. Je ne voulais pas m’infliger ça. Je voulais prendre du recul toute seule. Et puis merde quoi, je n’ai pas besoin des autres. Hier j’ai demandé de l’aide et cela devient une habitude que personne ne me réponde maintenant. ç’a toujours été ainsi, alors comment veut-elle que je m’ouvre et que je fasse de mes faiblesses une force si au final on me laisse toujours dans ma merde ? Après tout c’est bien connu : je suis forte, je m’en remettrais. Allez vous faire.

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2016-05-24T12:20:35+02:00
https://beyonthesky.journalintime.com/sixteen sixteen J'ai pris un peu de temps afin de faire le point sur les vacances que j'ai passé, avant la dure réalité de la reprise des cours où je vais encore me noyer continuellement. Je pense avoir enchaîner suffisamment d'erreurs jusqu'à maintenant qui me pousse à m'enfermer une fois de plus. Parfois cela fait moins de dégâts de lâcher prise que de s'accrocher comme une hébétée. J'ai quitté ma copine cette semaine, les aléas de la vie ont fait que nous devions faire notre route chacun de notre côté. Elle m'aura accompagné quelques mois dans ma vie. Puis j'ai stoppé radicalement J’ai pris un peu de temps afin de faire le point sur les vacances que j’ai passé, avant la dure réalité de la reprise des cours où je vais encore me noyer continuellement.
Je pense avoir enchaîner suffisamment d’erreurs jusqu’à maintenant qui me pousse à m’enfermer une fois de plus. Parfois cela fait moins de dégâts de lâcher prise que de s’accrocher comme une hébétée.
J’ai quitté ma copine cette semaine, les aléas de la vie ont fait que nous devions faire notre route chacun de notre côté. Elle m’aura accompagné quelques mois dans ma vie. Puis j’ai stoppé radicalement après que l’alcool m’ait fait tombé dans les bras d’un garçon par pur désespoir. Cela me rappelle une conversation que j’avais déjà eu avec elle lorsque nous étions ensemble.
"Tu ne sauras jamais si je te trompe. Y’a des choses qui sont inutiles à parler comme ce sujet-là."
Mais maintenant comment dire à ce garçon qu’il va tombé dans les abysses s’il s’accroche à une fille dénuée de sentiments?
Et puis il y a elle, qui m’a fait disjoncté pour des conneries le même soir, et que je serais obligée de recroiser puisque nous sommes dans la même classe. On s’apprécie beaucoup mais en réalité j’ai qu’une envie c’est de la voir glissé entre mes doigts pour ne plus jamais l’avoir comme boulet dans mon existence. C’est pour cela que je glisserai doucement sur une autre route, sans même qu’elle s’en rende compte pour que cela ne fasse de mal à personne. Elle m’oubliera et ira verser ses larmes sur l’épaule d’une autre personne; car son corps au contact du mien me procure à la fois sensation de bien-être et un déchirement qui subsistera toujours dans mon âme assoiffée de son corps qui m’est interdit. Et il y a cette personne à l’intérieur de moi, qui me ronge de l’intérieur pour éclater et dévorer la personne actuelle que je suis. Je me tue pour mieux renaître; et je m’enferme dans le dessin pour oublier tandis que mon je m’enfoutisme reprend de la place dans mon coeur.
Mais s’il y a bien une chose dont je ne pourrais pas enlever mes angoisses, c’est ma scolarité. Je n’ai qu’un but dans ma vie celui de travailler dans le dessin. Mais j’ai une moyenne réellement fragile avec un faible niveau de langues. Les cours d’italiens avec mon professeur actuel sont la définition même des antres du démon. Et au vu que mon résultat déplorable cela me fait angoisser parce que je ne vois pas ma vie ailleurs que dans ma passion qui est le dessin; un monde fermé et vaste à la fois, très difficile d’accéder. Je n’ai pas de plan B, alors en ce moment c’est soit j’y arrive soit je me noie le restant de mon existence. Et je n’ai pas le temps d’augmenter mon niveau de langues avec le bac qui approche. Je me retrouve donc dans une éternelle angoisse puisque angoissée; je ne peux rien faire.

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2016-04-23T22:37:00+02:00
https://beyonthesky.journalintime.com/fifteen fifteen J'ai une copine. Mais je ne sais pas me comporter "comme un couple". Comment doit-on se comporter dans un couple? Cela va faire trois mois et ma conscience ne veut toujours pas s'adapter, mais ce n'est pas comme si cela me tracassait. L'embrigadement de mon âme l'empêche de lire en moi et doute sur tout les aspects de ma personnalité. J'ai avec moi une femme avec un gros soupçon de bipolarité et des émotions dansantes. Et mon indifférence l'a met littéralement hors d'elle, et le pire c'est que c'est quelque chose ancrée en moi que je ne remarque plus. Je ne met pas de mots sur ce J’ai une copine. Mais je ne sais pas me comporter "comme un couple". Comment doit-on se comporter dans un couple ? Cela va faire trois mois et ma conscience ne veut toujours pas s’adapter, mais ce n’est pas comme si cela me tracassait.
L’embrigadement de mon âme l’empêche de lire en moi et doute sur tout les aspects de ma personnalité. J’ai avec moi une femme avec un gros soupçon de bipolarité et des émotions dansantes. Et mon indifférence l’a met littéralement hors d’elle, et le pire c’est que c’est quelque chose ancrée en moi que je ne remarque plus. Je ne met pas de mots sur ce que je peux ressentir. J’ai un goût très prononcé pour le plaisir charnel, et je prends plaisir à avoir son corps dans une intimité réservée à toute les deux. Elle est gentille et intelligente et teste énormément mon calme et ma patience infinie en vain malgré son caractère très explosif. Cela suffit pour répondre à la question fatidique du "Es-tu amoureuse?"
Je me suis reportée sur les sensations et non les émotions, et je sais que cela peut faire énormément de dégât à ce niveau-là. En réalité, plus j’écris, plus je perds mes mots car je suis dans l’incapacité de savoir ce que je pense du "nous" éphémère que nous sommes en train de construire. Mon point de vue est sûrement occulté par l’obsession que je porte envers le corps de quelqu’un d’autre. Et je sais que dès que je veux quelque chose je suis capable de me détruire pour obtenir ce que je veux. Je sais très bien que je m’en remettrais de toute manière.
Ces mots peuvent probablement refléter pour un lecteur une simple gamine en quête de soi, qui ne sait pas ce qu’elle veut et les personnes de son genre devraient être interdit d’être en couple. Je pourrais en effet me caractériser d’une femme éternellement insatisfaite soif de sensations et incomprise de par son mutisme grandissant. Mais mon handicap de sentiments ne pénalise pas mes objectifs et ce que je veux vraiment parce que je sais qui je suis.
Et je sais que j’ai toujours eu un lien assez particulier avec le plaisir charnel depuis toujours. Je pourrais prendre l’hypothèse que ce subit déclenchement s’est fait à partir de mon agression sexuelle dès mon jeune âge. Ma mère a encore du mal à me croire que je lui dis que je suis totalement indifférente à ce passage de ma vie qui pourrait être sombre pour certain.
Si on revient à ma copine, j’ai l’impression d’être une célibataire depuis un mois, en raison de plusieurs complications qui ont conduit à un mois sans se voir. Et ma conscience est emprisonné par quelqu’un d’autre depuis un an. Je sais que si je quitte ma copine, je pourrais l’avoir après un an d’acharnement; mais qu’est-ce qui m’empêche de lâcher prise ? Le fait de savoir qu’avec ma copine j’ai de la stabilité, et pas avec l’autre ? Mais est-ce que je peux me permettre de parler de stabilité avec nos caractères et mon point de vue libertin ? Est-ce que je fais ma gamine capricieuse et que je veux les deux pour moi toute seule ? Est-ce que avec ma copine, je peux faire de nouvelle choses, et avec l’autre je serais condamnée aux abysses du désespoir ? Toutes ces questions révèlent un doute très profond. Je ne cherche pas réellement de réponse, ou seulement savoir comment apaiser ma conscience assoiffée face à la pire des tentations.

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2016-03-23T23:25:00+01:00
https://beyonthesky.journalintime.com/Une-femme-en-detresse Une femme en détresse Je ne sais pas où j'en suis, mais je continue toujours d'avancer dans ce chemin occulté par le brouillard de mes émotions. Est-ce que je peux ressentir d'autres émotions que mon anxiété qui prend le dessus sur mon instinct? Je déteste suivre mes émotions, je suis une personne qui fonctionne à l'instinct parce que je sais comment je suis sinon. Si je suis mes émotions, je vais devenir une femme dans un excès d'impulsivité, ma folie que j'ai eu tant de mal à enfouir en moi va ressortir. Et c'est ce qui ce produit en ce moment. J'ai une vision des choses qui diffère des Je ne sais pas où j’en suis, mais je continue toujours d’avancer dans ce chemin occulté par le brouillard de mes émotions. Est-ce que je peux ressentir d’autres émotions que mon anxiété qui prend le dessus sur mon instinct ? Je déteste suivre mes émotions, je suis une personne qui fonctionne à l’instinct parce que je sais comment je suis sinon. Si je suis mes émotions, je vais devenir une femme dans un excès d’impulsivité, ma folie que j’ai eu tant de mal à enfouir en moi va ressortir. Et c’est ce qui ce produit en ce moment.
J’ai une vision des choses qui diffère des autres, je le ressens très bien. J’aimerais qu’un jour, quelqu’un vienne me voir, me regarde dans les yeux et me dise "Oui, je te comprends."
Je trouve donc l’envie in-considérable d’écrire ces mots ici et de déballer ces mots qui peuvent au mieux refléter l’écho de mon âme.
Je suis une lycéenne qui arrive sur sa dix-septième année. Je suis bercée par le moment présent des choses et le passé m’indiffère totalement, la raison pour laquelle je n’ai en mémoire que les souvenirs potentiellement marquant de mon existence car j’ai une haine profonde envers les souvenirs. Je suis une rêveuse n’ayant pas une perception très aiguë de la réalité, ce que mes yeux me montrent pour moi ne sont que des images illusoires que le temps prendra plaisir à dévorer la seconde qui suit. Je suis un individu qui vit de ressentiments et non de sentiments, c’est pour cela que je suis très réceptive concernant mon odorat, tout ce qui peut frôler mon corps et à mon goût. J’ai la capacité d’être proche d’autrui sans ressentir aucune attache envers eux, donc leur venu ou leur départ n’affectera pas mon état psychologique. Mais j’ai des personnes à qui je ressens un amour profond pour eux, et lorsque je ressens de l’amour pour quelqu’un je peux donner corps et âme quitte à me plonger inexorablement aux enfers. Je porte bien l’expression "à la vie à la mort".
Je suis quelqu’un de solitaire. Quelques personnes côtoient mon quotidien; ils sont gentils. Certains ont le sens de la loyauté. Je ne peux dire que cela car je ne sais plus comment aimer les nouveaux arrivants. Je suis en couple après tant d’années de déchéance; elle a des tendances bipolaire mais mon calme et ma patience lui donne une certaine stabilité. Est-ce que je l’aime ? Elle est gentille. Observatrice, intelligente et ses sauts d’humeurs ne me dérange pas. L’indifférence berce mon quotidien ce qui irrite les autres.
Je me suis plongée dans un mutisme qui dévore mon âme avec le temps. Je suis dans la totale incapacité de décrire mes émotions ni même un point de vue dans un certain cas particulier. Je ne suis en aucun cas timide et je fais parfaitement démontrer mon potentiel de confiance en moi aux yeux des autres. Seulement, je réponds dans un silence constant et pesant, et lorsque ma conscience arrive à saturation j’adopte des comportements impulsifs et des propos totalement incompréhensif aux yeux des autres. Je ne sais pas pas peser mes mots correctement, ou adopte des propos très décalé avec un ton pas forcément cordial et une franchise irritante pour exprimer mes ressentis. Un très gros problème de communication envers les autres est ancrée en moi, et étant toujours dans une éternelle insatisfaction je m’enferme une fois de plus dans un silence que je ne peux me défaire.
J’ai une addiction caché aux yeux de mon entourage. La mutilation. Certains le savent de par les cicatrices sur mon corps, mais pas que c’est quelque chose que je désire toujours autant. Et cette sensation d’avoir la lame tracer des lignes droites sur ma peau m’alerte que je suis bien un être humain qui ressent des choses.
Je possède un caractère avec des humeurs très instable. Je peux être quelqu’un qui serait au bord du suicide, sortir d’une pièce et devenir quelqu’un de totalement euphorique inspirant la joie de vivre, vis versa. Un caractère d’adulte comme un caractère très enfantin. Je dois avouer ne pas savoir comment gérer toute ces choses-là. J’ai des possibilités d’apaiser le trou béant dans ma poitrine mais, si je bannis le monde illusoire que je me suis bâtie, ce serait impossible. Comme si tout les efforts que je faisais venait me foutre des baffes dans la gueule. Comme si toutes ces baffes dans la gueule, c’était toutes les personnes qui m’endossent des responsabilités et des souffrances parce que je suis forte-donc si je suis forte ce n’est pas grave je vais m’en remettre- et qui deviennent outrée à la moindre et rare impulsion que je peux montrer.

Normalement, je sais me contrôler. Mais pour une raison que j’ignore, ma conscience a décidé que mon coeur allait guidé ma vie quelques instants. Sauf que mon coeur est couvert de déchirures qui ne demandent qu’à mourir. Et même ma détresse oppressante je ne sais pas l’exprimer aux autres. J’enchaîne les angoisses qui surviennent sans aucune raison apparente. Parfois, mes mains sont moites, ma tête est comme un ballon de baudruche qui arrive à saturation, mes jambes tremblent et je manque d’air comme si quelqu’un attrapait mes poumons et tentait de m’étouffer. Et mon coeur lui ressent une douleur qui me donne la gerbe.
J’aimerais bien demander de l’aide à quelqu’un, mais je suis une personne qui montre le bien par le mal; qui propage le mal et qui finit par détruire les liens qu’elle construit. Comme un putain de gamin qui gonfle trop fort dans un ballon, en pensant bien faire mais qui finit toujours par l’éclater.

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2016-03-19T01:04:49+01:00
https://beyonthesky.journalintime.com/Maux Maux Penses-tu pouvoir mener la danse bien longtemps? Après tout, le bonheur n'est-il pas éphémère? Et que vas tu faire lorsque ta distraction te conduira dans les abysses? L'inconscience de tes sarcasmes et de ta perversité font de toi une créature encore plus ignoble. N'est-ce pas assez contradictoire pour une personne phobique de la solitude? Prétendant avoir perdu une force dans ta vie, tu as pourtant sacrifié cela pour un amour sans lendemain. Sais-tu seulement à qui tu as adressé cette provocation? Sais-tu à quel point ton châtiment sera lourd à porter? La rancune ne m'est pas Penses-tu pouvoir mener la danse bien longtemps ? Après tout, le bonheur n’est-il pas éphémère ? Et que vas tu faire lorsque ta distraction te conduira dans les abysses ?

L’inconscience de tes sarcasmes et de ta perversité font de toi une créature encore plus ignoble. N’est-ce pas assez contradictoire pour une personne phobique de la solitude ? Prétendant avoir perdu une force dans ta vie, tu as pourtant sacrifié cela pour un amour sans lendemain.
Sais-tu seulement à qui tu as adressé cette provocation ? Sais-tu à quel point ton châtiment sera lourd à porter ? La rancune ne m’est pas familière, mais le seuil de tolérance a été quelque peu piétiner. Peut-être que si les rôles seront inversés, tu prendras conscience de l’amour débordant que j’éprouvais à ton égard. Après tout, les humains fonctionnent ainsi, par la douleur et cruauté non ? Parce qu’ils sont incapables d’aimer quelqu’un sans tout dévorer sur leur passage.

Est-ce ma destinée ? Mon existence ne cohabite pas avec ce genre de sentiments. Il cohabite avec un vide constant, une douleur dans la poitrine qui ne cesse de s’accrocher, de me dévorer la conscience. Ce sentiment qui coule dans mes veines comme un besoin vital qui ne cesse d’assombrir mon regard sur autrui. Tout en déchirant mes entrailles, en ayant cette sensation de saigner, d’être compressée.
C’est cette sensation qui me prouve que je subsiste. C’est de là que provient ma force. Elle s’en abreuve, et se nourrit de vos mépris. Et je vis chaque jours comme si mes démons allaient s’emparer de moi à tout moment, sans jamais me tenir à genoux. Et j’ai la certitude que tôt ou tard, je récolterais le fruit des efforts que je fournis.

Et c’est avec un soupçon de dédain que j’en conclus que cette année scolaire sera pleine de rebondissements. Sans rancune, hein ?

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2015-09-21T20:05:46+02:00
https://beyonthesky.journalintime.com/Eleven Eleven Quelque chose avait subitement changé. Ses sentiments ont soudainement été balayé. Une sensation de vide lui rappelle qu'elle était malgré tout humaine. Ce sera la dernière fois qu'elle éprouvera de l'affection envers un nouvel individu. Elle avait déjà commencé le processus d'enfermement, la barrière qui s'était écroulée auparavant s'est désormais reconstruite. Elle avait décidé de sacrifier une partie de son être afin de se protéger. Pour elle, c'était la meilleure solution qui soit. Tout commençait à devenir plus clair dans son esprit. Elle se rendit compte que Quelque chose avait subitement changé.
Ses sentiments ont soudainement été balayé. Une sensation de vide lui rappelle qu’elle était malgré tout humaine. Ce sera la dernière fois qu’elle éprouvera de l’affection envers un nouvel individu. Elle avait déjà commencé le processus d’enfermement, la barrière qui s’était écroulée auparavant s’est désormais reconstruite.
Elle avait décidé de sacrifier une partie de son être afin de se protéger. Pour elle, c’était la meilleure solution qui soit.
Tout commençait à devenir plus clair dans son esprit. Elle se rendit compte que cette affection qu’elle avait envers cette personne était seulement un désespoir et un espoir à la fois, que son coeur avait manifesté.
Elle, elle n’aime pas les autres. Elle est obsédée. C’est de l’obsession et tant qu’elle aura mal, elle continuera à s’engouffrer dans ce tunnel sans fin.
Pourtant, elle avait réussi à trouver la sortie cette fois-ci. Mais ça, elle s’en doutait depuis le début. Elle voyait en cette personne un individu désordonné, avide de stupidité dont son seul but dans la vie était la rechercher perpétuelle de reconnaissance et un désolant besoin d’affection.
Par conséquent, elle n’éprouvait aucun sentiments envers cette personne. Même si son obsession avait prit le dessus durant plus d’un mois et, sa tranquillité avait été piétiné, elle avait compris que cet individu n’avait plus le mérite d’être épiée.
C’est une vie des plus banalement pitoyable. Une adolescente noyée parmi les autres.
Mais face à cette révélation qu’elle venait de se faire, elle n’eut pas la sensation d’un soulagement. Le vide, comme autrefois. C’est ce vide qui lui prouva qu’elle avait cesser sa perte de temps.
Tu sais, à trop t’en fermer c’est pas bon pour toi. Tu pourrais passer à coté de beaucoup de choses, de quelqu’un d’extraordinaire.
Est-ce vraiment ce dont elle avait envie ? La réponse était évidente.
De plus, elle avait déjà une obsession qui la hantait depuis son enfance. Cette dépendance lui permettait de trouver tout sentiment qu’un humain est capable de ressentir. Mais son obsession était loin, très loin de la où elle se trouvait. Quelque part, ça la rassurait ; elle était sûre que personne d’autre ne pourrait tenter de lui dérober.

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2015-04-20T18:46:00+02:00
https://beyonthesky.journalintime.com/Ten Ten Cela fait bien longtemps que je n'avais pas écris. En ces mois d'absences sur ce site, beaucoup de choses se sont produites, et mon cœur m'implore d'exposer des ressentis avant qu'il n'explose. Et puis je me suis souvenue de ce site. La collégienne d'autrefois a enfin prit le large, emportant avec elle les rancunes du passé.La lycéenne d'aujourd'hui a enfilé un nouveau masque. Mes premiers instants au lycée se sont déroulées avec ma copine la solitude. Je vivais une vie douce et tranquille, la tête enfouit dans les cahiers, un nouveau train de vie habituel et monotone s'est Cela fait bien longtemps que je n’avais pas écris. En ces mois d’absences sur ce site, beaucoup de choses se sont produites, et mon cœur m’implore d’exposer des ressentis avant qu’il n’explose. Et puis je me suis souvenue de ce site.
La collégienne d’autrefois a enfin prit le large, emportant avec elle les rancunes du passé.La lycéenne d’aujourd’hui a enfilé un nouveau masque.
Mes premiers instants au lycée se sont déroulées avec ma copine la solitude. Je vivais une vie douce et tranquille, la tête enfouit dans les cahiers, un nouveau train de vie habituel et monotone s’est installée. C’était satisfaisant, c’est une vie qui plait.
Je vais à un club depuis fin septembre. Les premières journées étaient mouvementées; de nouveaux souvenirs à collectionner dans mon coffre en pierre. Et puis la foule, le bruit a commencé à me lasser. De plus, les activités proposer était devenu dépourvu d’intérêt. Le Japon se résume vraiment aux mangas et aux jeux vidéos ?
Le temps, qui attrape sauvagement mon existence, a fait de moi un individu de glace.

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2015-03-16T21:30:00+01:00
https://beyonthesky.journalintime.com/Nine Nine Ma vision de la vie est différente que celle d'autrui. "Réalité" n'est plus dans mon vocabulaire, ce qui m'entoure est une berceuse d'illusions que le temps prend soin de dévorer. Je recommence ma vie à chaque réveil, le passé est à jamais enterré. J'ai des rêves pleins la tête avec l'intention de les réaliser et c'est un combat contre ma propre personne qui commence, mes émotions ne seront pas maître de ma vie. Je m'affaiblis mais n'abandonne jamais, je vois toujours de la lumière au bout du tunnel dans lequel je suis enfermée. La seule personne capable de changer ma vie est Ma vision de la vie est différente que celle d’autrui.
"Réalité" n’est plus dans mon vocabulaire, ce qui m’entoure est une berceuse d’illusions que le temps prend soin de dévorer.
Je recommence ma vie à chaque réveil, le passé est à jamais enterré.
J’ai des rêves pleins la tête avec l’intention de les réaliser et c’est un combat contre ma propre personne qui commence, mes émotions ne seront pas maître de ma vie.
Je m’affaiblis mais n’abandonne jamais, je vois toujours de la lumière au bout du tunnel dans lequel je suis enfermée. La seule personne capable de changer ma vie est moi-même, je ne me laisse influencer par personne; les sois-disants amis seront bientôt des ennemis.

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2014-07-21T18:15:34+02:00
https://beyonthesky.journalintime.com/Eight Eight Aujourd'hui a été une journée plutôt tranquille, si je ne compte pas cette chaleur insupportable... Et cette soirée qui a mal tourné. Je l'entendais hurler de ma fenêtre. Non, tais toi, tu ne vas qu'aggraver la situation. De ma chambre je pouvais aperçevoir mon beau-père s'entre tuer avec la personne qui est censé être mon père. Je ne pouvais m'empêcher d'esquisser un sourire. J'ai été habitué à ce genre de stupidité de la part de mon père. L'appeler ainsi m'écoeure de tout mon être. L'enfer n'est pas fini tant qu'il sera là, nous avons tout perdu à cause de lui. Nous Aujourd’hui a été une journée plutôt tranquille, si je ne compte pas cette chaleur insupportable… Et cette soirée qui a mal tourné.
Je l’entendais hurler de ma fenêtre. Non, tais toi, tu ne vas qu’aggraver la situation.
De ma chambre je pouvais aperçevoir mon beau-père s’entre tuer avec la personne qui est censé être mon père.
Je ne pouvais m’empêcher d’esquisser un sourire. J’ai été habitué à ce genre de stupidité de la part de mon père. L’appeler ainsi m’écoeure de tout mon être.
L’enfer n’est pas fini tant qu’il sera là, nous avons tout perdu à cause de lui.
Nous sommes seulement liés par le sang, et même si on me rabache toujours qu’un jour, je regretterais de ne pas avoir passé du temps avec lui, je m’en fiche. Je ne perds pas mon temps avec une personne qui ne fait plus attention à moi.
Ce qui m’attriste c’est l’état de ma mère à cause de sa pathétique personne. Ses actes accentuent la haine que j’ai envers cet ignoble individu.
Je ne retrouve plus l’ancien père de mon enfance, son regard inspire l’hypocrisie tout comme ses moindres signes d’affections qu’il me portait autrefois.
Tant pis, j’ai appris à vivre sans une présence paternel, et ce n’est pas son absence la raison de ma tristesse.
Je me régouis d’avoir une mère et des frères qui représente la perfection à mes yeux. Lorsqu’on est tout les quatre réunis, c’est du bonheur à l’état pur, une complicité unique.
Une cigarette de trop aujourd’hui. Je m’étais fixée l’objectif de diminuer, mais mon beau-père m’a tapé sur le système à hurler dans la maison.

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2014-06-13T21:17:18+02:00
https://beyonthesky.journalintime.com/Seven Seven Les êtres humains m'intrigueront toujours. Ils se persuadent d'avoir une âme-soeur à rechercher et, tout le long de leur existence, enchaineront les amourettes et les amis. Futile. Ce n'est qu'une excuse pour ne pas continuer sa vie sans avoir une main à tenir. Personne n'a à compléter qui que ce soit, car chacun est déjà entier, nous avons seulement peur de la solitude. Parfois je sers de punching ball à certaines de mes connaissances. Elles se plaignent de leur amour à sens unique ou de leur célibat pesant. Je reçois le même blabla, d'avoir un copain comme les gros clichés Les êtres humains m’intrigueront toujours.
Ils se persuadent d’avoir une âme-soeur à rechercher et, tout le long de leur existence, enchaineront les amourettes et les amis. Futile. Ce n’est qu’une excuse pour ne pas continuer sa vie sans avoir une main à tenir. Personne n’a à compléter qui que ce soit, car chacun est déjà entier, nous avons seulement peur de la solitude.
Parfois je sers de punching ball à certaines de mes connaissances. Elles se plaignent de leur amour à sens unique ou de leur célibat pesant.
Je reçois le même blabla, d’avoir un copain comme les gros clichés des films. Alors c’est ça l’amour ? Chercher un copain pour combler un manque affectif ? Mais l’amour ne se cherche pas, il te tombe dessus comme un ballon de football qui atterrit dans la tronche.
De toute manière, elles n’auront rien à gagner. Seulement des regrets et passer le reste de leur futile existence à se rappeler des bons moments qui ne sont devenus que des bribes de souvenirs.
Suis-je peut-être pessimiste car mes amours passés ne m’ont pas conduit au bonheur ? Je ne connais pas les clichés de couples heureux, à rigoler et jouer comme des gosses et tuer son temps avec une seule et même personne. Je crois qu’au fond je n’en ai jamais pas envie.
Je n’ai pas de vie amoureuse comme je n’ai pas de véritable amitié. Pathétique vie pour certains. J’ai seulement quelque exceptions, mais je me retrouve toujours seule car notre seul moyen pour communiquer est internet.
Je côtoie certaines personnes, je m’éclate avec, mais je sais que si nos chemins se séparent, je ne ressentirais rien.
Je me suis vite enlevé l’habitude de m’appuyer sur les autres pour ne pas me retrouver pleine de blessures sur le plan psychologique. Pour cela, j’ai le dessin, la synergologie la musique et le piano, lire...et la famille.
La cigarette comble ma solitude de temps à autre. Cette merde industrielle ne comble pas seulement ma solitude, elle me bouffe de l’intérieur. Je dois m’arrêter pour l’été.
Je retourne faire du piano, m’évader loin d’ici.

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2014-06-12T19:24:00+02:00
https://beyonthesky.journalintime.com/Six-L-envie-de-reecrire Six. L'envie de réécrire. La sonnerie retentit. Mon cœur se mit à battre la chamade, comme s’il allait s’arracher de ma poitrine. Je ne voulais pas quitter cette salle de classe, mais j’étais malheureusement contrainte de me diriger dans la cours de récréation. Ils étaient là. Ensembles, à rire d’un air innocent, le regard amoureux. Mon visage se crispa, toutes ces amourettes me donnait la nausée. Mais je pouvais pas m’empêcher de les fixer avec insistance, malgré la douleur qu’ils me propageaient. Pourquoi ai-je toujours cette impression que malgré les efforts que je fournis, le destin se La sonnerie retentit. Mon cœur se mit à battre la chamade, comme s’il allait s’arracher de ma poitrine. Je ne voulais pas quitter cette salle de classe, mais j’étais malheureusement contrainte de me diriger dans la cours de récréation.
Ils étaient là. Ensembles, à rire d’un air innocent, le regard amoureux. Mon visage se crispa, toutes ces amourettes me donnait la nausée. Mais je pouvais pas m’empêcher de les fixer avec insistance, malgré la douleur qu’ils me propageaient. Pourquoi ai-je toujours cette impression que malgré les efforts que je fournis, le destin se retourne toujours contre ma personne ?
Mon regard se posa sur le garçon en question. Je le hais. Je le hais tellement. En l’espace d’une seconde, il m’a anéanti. Il a attrapé mon cœur et l’a pulvérisé, m’a volé mon sourire et ma joie de vivre, ainsi que tout les espoirs et les efforts que j’avais fournis jusqu’à présent pour ne pas lâcher prise. Samedi dernier, j’ai complètement disjoncté.
Il était des rares personnes à qui faisais confiance. Non, en faite il était le seul, il représentait tellement de choses pour moi. Il faisait attention à moi, je lui racontais toute ma vie dans les moindres détails. Moi qui suit de nature solitaire et méfiante à cause de mes expériences passées, il m’a fallu du temps avant de vraiment m’ouvrir à lui. Une fois que je lui avait donné ma confiance, je n’étais pas du tout mécontente, au contraire, je me disais que j’avais de la chance d’avoir trouver un garçon aussi formidable que lui. Quelle grossière erreur de ma part, je me sens tellement pathétique d’avoir à ce point baisser ma garde.
Je le considérais comme mon meilleur ami, et vis-versa.
Mais non, ce samedi-là, je n’ai pas pu supporter. Je le savais en plus que ça allait se dérouler ainsi, mais j’avais, comme à chaque fois, décidé de me taire.
Cela fait un an que je suis amoureuse d’elle. Je lui en ai d’ailleurs parlé, il faisait tout pour me remonter le moral. Du moins au début. Et rien que dans les messages qu’il m’envoyait, je sentais à travers ses mots de l’amour, de l’amour qu’il ressentait pour elle, la fille que j’aimais. Il n’avait même pas pris la peine de me le dire, sûrement pour ne pas me faire de mal qui sait. Il me laissait parler d’elle comme si de rien était. Et ce samedi-là, il a décidé de se mettre avec elle. Il savait à quel point je l’aimais, à quel point j’étais mal. Il m’avait enfoncé plus bas que terre. Il m’avait rendu complètement hystérique en l’espace de cinq secondes. J’avais l’impression qu’il m’avait attrapé mon cœur et l’avait écrasé, complètement broyé sans aucune pitié. Tout ce que j’avais accumulé, tout les sentiments que j’avais refoulé jusqu’à maintenant avait explosé, mais de l’extérieur. Cela faisait bien longtemps que je n’avais pas pleuré ainsi, dans le domicile de mon père, la seule personne qu’on entendait était moi.
Les êtres humains auront beau le nier, mais chacun de nous aimerait avancer dans la vie aux côtés de quelqu’un qui aurait la capacité de nous comprendre. Après ce qu’il m’avait fait, je me sentais juste trahie, c’est fou à quel point la haine et l’amour sont finalement deux sentiments si proches.
Une fois sa déclaration dite, il n’a plus prit de nouvelles de moi. Il m’a laissé mourir sur le bord de la route, pendant que lui a prit l’autoroute du bonheur. Je rêve déjà du jour où ils vont se séparer, qu’il souffre comme il me l’a fait à moi. Mais j’ai baissé ma garde, j’avais oublié que les êtres humains restes égoïstes après tout.
Je ne peux pas donner ma confiance à quelqu’un, je ne sais plus m’attacher vraiment à qui ce soit. J’ai l’impression d’être condamné à rester seule. Je ferais donc de ma solitude ma meilleure alliée.

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2013-11-18T19:47:00+01:00
https://beyonthesky.journalintime.com/Five Five J’écris très peu sur mon journal en ce moment, pour la simple et unique raison qu’il n’y a rien d’intéressant dans ma vie en ce moment. La routine pèse de plus en plus, les devoirs me fatigue. Je ne sais pas si je vais bien ou non. Je me suis encore confiée aux mauvaises personnes pour le regretter par la suite. Pourquoi lorsque je me fais aussi petite qu’une fourmi, je suis la première à être remarquée de tous? Ça m’agace, que ça m’agace. Je suis quelque peu maladroite et spontanée, du moins en ce moment. Plus personne ne me parle. Qu’importe, qu’ils aillent J’écris très peu sur mon journal en ce moment, pour la simple et unique raison qu’il n’y a rien d’intéressant dans ma vie en ce moment. La routine pèse de plus en plus, les devoirs me fatigue. Je ne sais pas si je vais bien ou non. Je me suis encore confiée aux mauvaises personnes pour le regretter par la suite.
Pourquoi lorsque je me fais aussi petite qu’une fourmi, je suis la première à être remarquée de tous ? Ça m’agace, que ça m’agace. Je suis quelque peu maladroite et spontanée, du moins en ce moment.
Plus personne ne me parle. Qu’importe, qu’ils aillent se faire voir, je n’irais pas leur parler. S’ils ne viennent pas, c’est que je ne suis rien à leur yeux. A. en fait partit, de ces gens qui ne viennent plus me parler. A., est la personne la plus importante pour moi, c’est en très grosse partie grâce à elle que je suis devenue ce que je suis, même si je me cherche encore. Même si ça me brise le cœur, je ne viens pas lui parler. Je me dis que toute bonne chose à une fin, et l’amitié est éphémère. Je fais de la solitude mon seul alliée. Personne ne pense à moi, je fais de même.
J’ai fais le choix de tout abandonner pour repartir sur de bonnes bases. Je me suis tuée pour mieux renaître.

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2013-09-19T21:35:40+02:00
https://beyonthesky.journalintime.com/Four Four La malchance du vendredi treize, ahhlalala. J’ai vraiment passé une journée, que je me permets de dire MERDIQUE. Ça faisait longtemps que je n’étais pas dans un état aussi pitoyable qu’en ce moment, et pas seulement aujourd’hui. J’ai commencé ma matinée avec EPS. C’est une mauvaise idée de courir alors qu’on ne mange plus. Ça a accentué mes mal de tête, j’avais la tête qui tournait et ça m’a donné des nausées. J’avais du mal à rester debout et le stress n’a pas arrangé les choses, puisque je tremblais. Mon teint était pâle, je tombais malade. Je ne La malchance du vendredi treize, ahhlalala. J’ai vraiment passé une journée, que je me permets de dire MERDIQUE.
Ça faisait longtemps que je n’étais pas dans un état aussi pitoyable qu’en ce moment, et pas seulement aujourd’hui. J’ai commencé ma matinée avec EPS. C’est une mauvaise idée de courir alors qu’on ne mange plus. Ça a accentué mes mal de tête, j’avais la tête qui tournait et ça m’a donné des nausées. J’avais du mal à rester debout et le stress n’a pas arrangé les choses, puisque je tremblais. Mon teint était pâle, je tombais malade. Je ne suis pas allée en cours cet après-midi, je ne voulais surtout pas la voir, qu’elle me rende dans un état de nerf, qu’elle me plombe encore plus mon moral. J’espérais qu’elle m’enverrait un message lorsque les cours seraient finit pour s’inquiéter pour mon état, du pourquoi je n’étais pas là. En vain. J’ai l’impression de refaire sortir tout ce que j’ai accumulé pendant deux ans. Je n’ai jamais été aussi pathétique. J’ai vaguement parlé de mon état de ce matin à quelques amies. J’ai regretté, je regrette toujours lorsque je me confie à quelqu’un, elles ne comprennent rien. Une a rigolé, je me suis forcé de prendre ça à la rigolade aussi. Personne ne me comprend, même pas C. Je me sens vraiment seule. Tant pis, j’avancerais sans l‘aide de personne, j’ai les capacités pour, il me faut juste de la volonté, et aussi de la volonté pour oublier C. J’ai également perdu énormément de poids, j’ai limite la peau sur les os. Normalement, en ce moment même où j‘écris ceci, je serais en train de manger. Je mangeais matin, midi, le soir, la nuit …. J’avais tout le temps de la bouffe dans la bouche. Maintenant la nourriture me dégoute. Lorsque je me force de manger, j’ai juste envie de vomir. Demain je dois allée à un repas de famille, je n’ai pas du tout la motivation. Je me sens faible et fatiguée et j’ai pourtant dormit trois heures en rentrant des cours. Je me suis forcée de manger une malheureuse gaufre, ça m’a remplit pour la soirée.
Dans mon dernier cours d’histoire géographie, on nous expliquait la technologie d’aujourd’hui. La prof cite « Nos sociétés sont en train de s’isoler » , « Grâce à internet on est tous reliés, mais pourtant on est tous de plus en plus seuls. » J’approuve tout ce qu’elle a dit. Tout ce qu’elle disait me bouleversait.

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2013-09-13T20:05:13+02:00
https://beyonthesky.journalintime.com/Three Three Comment pourrais-je décrire ma journée? J’ai passé la matinée avec C. Cela faisait longtemps que je ne l’avais pas taquiner, sa mine boudeuse me manquait. Elle m’avait attendu sur le parking ce matin et non devant le portail du collège. Elle n’aimait pas attendre seule, disait-elle. La solitude est la plus grande peur des autres, je m’en suis rendue compte. Qu’importe, je me suis peu attardée là-dessus, je voulais profiter des moments que j’allais passer avec elle. Sa main posée sur mon bras pour longer jusqu’à ma main me donnait des frissons; son corps pratiquement Comment pourrais-je décrire ma journée ? J’ai passé la matinée avec C. Cela faisait longtemps que je ne l’avais pas taquiner, sa mine boudeuse me manquait. Elle m’avait attendu sur le parking ce matin et non devant le portail du collège. Elle n’aimait pas attendre seule, disait-elle. La solitude est la plus grande peur des autres, je m’en suis rendue compte. Qu’importe, je me suis peu attardée là-dessus, je voulais profiter des moments que j’allais passer avec elle. Sa main posée sur mon bras pour longer jusqu’à ma main me donnait des frissons; son corps pratiquement collée au mien, me chuchotant des mots à l’oreille pour que personne ne soit susceptible d’avoir entendu quoi ce soit, me rendait folle. Je n’écoutais même plus ce qu’elle me disait, je me retenais juste. Je ne ferais rien qui pourrait la blesser, après tout ce n’est pas agréable de se faire embrasser par une personne dont on n’est pas amoureux. Dernièrement, mes sentiments ont prit le dessus depuis que j’ai décidé de l’oublier. Je ne sais même pas comment je fais pour rester accrochée, à espérer même après avoir été rejeté. J’ai perdu deux ans à cause de ces futilités. Une année avec une fille, une autre année avec une nouvelle, C. Un jour, j’aimerais quelqu’un qui m’aimera en retour… un jour.
Mon après-midi a été ennuyante. J’ai fais l’effort d’aller fêter l’anniversaire de mon père, malgré que l’envie n’y soit pas. Je ne voulais pas le voir, je ne voulais pas qu’il me prenne dans ses bras, où qu’il me montre le moindre signe d’affection. « Plus le temps passe, moins ça passe avec ton père j’ai l’impression », tel était les mots de ma mère. Ce n’est pas faux. Il a détruit une famille, délaisse ses propres enfants et manipule tout le monde, même ses enfants dans le seul but de détruire ma maman.
Je n’aimais plus mon « nouveau » père. Tout avait changé en lui : Son regard, sa façon de parler, son comportement, son physique… tout. Je cherche en vain mon « ancien » papa, mais je n’arrive pas à le trouver, je l’es définitivement perdu. Je n’arrive plus à avoir une relation stable avec lui, je ne veux même plus le voir. Non, je ne veux plus voir personne, je veux qu’on me laisse tranquille.
La routine pèse de plus en plus aussi, ça m’agacent fortement.

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2013-09-11T22:55:00+02:00
https://beyonthesky.journalintime.com/Two Two À sept heure, le réveil se mit à sonner. L’envie d’aller en cours n’était pas au rendez-vous, pourtant ce n’était pas le fait d’aller travailler qui me blasait. Je me préparai pour me diriger ensuite à contrecœur à mon établissement scolaire. Je prenais mon temps, je ne voulais pas la croiser. Plus je m’approchais de l’établissement, plus mon rythme cardiaque accélérait, le stress et des maux de cœurs prenait le dessus. Cette sensation m’était désagréable, je dirais même insupportable. J’en perdais le sommeil et le moral. Elle était là, devant les portes À sept heure, le réveil se mit à sonner. L’envie d’aller en cours n’était pas au rendez-vous, pourtant ce n’était pas le fait d’aller travailler qui me blasait. Je me préparai pour me diriger ensuite à contrecœur à mon établissement scolaire. Je prenais mon temps, je ne voulais pas la croiser. Plus je m’approchais de l’établissement, plus mon rythme cardiaque accélérait, le stress et des maux de cœurs prenait le dessus. Cette sensation m’était désagréable, je dirais même insupportable. J’en perdais le sommeil et le moral. Elle était là, devant les portes de ce fastidieux collège. J’ai cru faire un arrêt cardiaque en la voyant. Ses yeux émeraudes et légèrement noisette se posèrent sur moi, je ne pouvais rien faire mise à part la regarder bêtement. Elle me sourit, et me fit la bise. Mes jambes se dirigèrent vers une de mes amies que j’avais aperçu au loin, mais au fond je le ne voulais pas. Je voulais rester là, pour toujours à ses côtés, que ces moments passés avec elle ne s’arrête jamais. J’étais amoureuse d’elle, mais ce n’était pas réciproque. Je n’avais jamais eu de chance en amour, et j’étais également stupide, alors j’attendais malgré tout.
J’attendais, mais je ne savais pas comment m’y prendre. Je suis plutôt une fille direct, dès que j’ai su mes sentiments envers cette demoiselle, je lui est dis, du moins dès que j’étais prête. J’avais pas le courage de lui dire en face, alors ça été par texto. Je me trouvais pathétique à ce moment-là. « On en reparlera demain au collège, d’accord ?  » me répondit-elle. C’était vraiment le bordel durant mon année de quatrième. Notre relation avait totalement changé depuis ma déclaration. J’essayais par tout les moyens des techniques d’approches, en vain. Maintenant, on reste rarement ensemble au collège, pourtant on se confie tout, en grosse partie grâce à moi. C’est le genre de fille qui se cache derrière un sourire, mais qui est en réalité malheureuse. J’ai réussit à faire en sorte qu’elle se confie toujours à moi, et je ferais de même. On a une relation très particulière. Parfois, j’ai cette impression que son regard se pose sur moi, et lorsque je la regarde, elle ne le fait pas. On se comporte comme des étrangers alors qu’en réalité j’ai besoin d’elle comme elle a besoin de moi. Elle a un comportement qui porte a confusion avec moi, même mon entourage ne le comprend pas. Des regards s’échangent, une distance malgré tout est entre nous deux, mais on se partage tout, on sait tout l’une de l’autre. J’ai envie de faire avancer les choses, mais j’y arriverais pas. J’ai perdu un manque de confiance en moi dans ce « domaine » là par rapport à un amour du passé qui m’a vraiment transformé. Je prétends être heureuse et forte, je me prétends d’être heureuse et forte. En réalité je suis une de ces pauvres filles pathétiques, attendant qu’un miracle viennent leur tomber dessus. Le bonheur ne vient pas d’un claquement de doigt, j’en suis consciente. J’ai tout fait pour attirer le bonheur vers moi. Il est venu, sauf en amour. Cependant, j’ai une sortie de secours. Sortir avec un garçon qui lui est amoureux de moi. La gente masculine me dégoute, je ne sais pas si je serais capable d’aimer un garçon. Mais je me dis que si je ne le fais pas, je suis condamnée. Condamnée à un amour à sens unique.

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2013-09-10T12:23:40+02:00
https://beyonthesky.journalintime.com/One One Cette idée m’est venue d’un coup: l’envie de recommencer mon journal. Il ne me plaisait pas. Je n’ai plus envie de reparler du passé. Le passé reste dans le passé, et je me donnerais tout les moyens nécessaires pour avoir un avenir meilleur que les jours qui précédaient. Avant tout, qui suis-je? Une adolescente perdue parmi les autres, je me retrouve coincée dans un collège où les rumeurs et les injures envers autrui sont rois. Enfin cela m’importe peu, tout ça me passe au dessus et je m’occupe seulement de ma petite personne, c’est mieux ainsi. Je me sens vraiment Cette idée m’est venue d’un coup : l’envie de recommencer mon journal. Il ne me plaisait pas.
Je n’ai plus envie de reparler du passé. Le passé reste dans le passé, et je me donnerais tout les moyens nécessaires pour avoir un avenir meilleur que les jours qui précédaient. Avant tout, qui suis-je ? Une adolescente perdue parmi les autres, je me retrouve coincée dans un collège où les rumeurs et les injures envers autrui sont rois. Enfin cela m’importe peu, tout ça me passe au dessus et je m’occupe seulement de ma petite personne, c’est mieux ainsi. Je me sens vraiment différente de toutes ces filles superficielles à la recherche du prince charmant. J’ai également un style décalé, des cheveux teintés rouge et des yeux où les couleurs alternent souvent, mais ils sont principalement bleus. Beaucoup me jalousent par rapport à mes yeux, je ne me gène pas pour les narguer d’ailleurs. L’amitié n’a plus aucune valeur à mes yeux, je ne sais plus donner de l’affection à quelqu’un ni même lui faire confiance. Je me cache dans une façade de froideur, je me protège de toutes ces personnes malintentionnés, capable de blesser quelqu’un sans aucun répit. Je les hais. Je ressens un profond dégout la gente masculine, voir le corps d’un homme me dégoute plus qu’autre chose. Les agressions sexuelles font des merveilles. Je précise que c’est de l’ironie.
Je suis également lunatique, je peux avoir une grande confiance en moi, mais à force de trop accumuler et trop me retenir, le moindre choc peut me faire perdre le contrôle de moi-même et je ne réfléchis pas à mes actes par la suite. Les seules choses qui me maintiennent debout sont la musique et le dessin. Crayon à la main prête à dessiner ce qui me traverse l’esprit, la musique me transporte dans un monde parallèle, loin des autres, là où je me sens bien. Sans le dessin ma vie n’a plus aucun sens, c’est grâce à ça que j’arrive à avancer dans la vie, et que je communique avec les personnes qui m’entourent.
Malgré une vision négative de la vie, je suis tout de même optimiste. J’ai la chance d’avoir la vie que j’ai. « Il y a mille fois pire que moi », je pense tout le temps cela.
Je suis tout le contraire des personnes qui se qualifient jalouses et possessifs(ves). On m’a raconté qu’être jaloux signifie qu’on est attaché à une personne. La jalousie ne montre pas l’affection que tu as envers quelqu’un, elle étouffe les autres. C’est un sentiment égoïste, l’envie qu’une personne soit notre à jamais, on veut marquer notre territoire. Je précise que ce n’est que mon point de vue, à chacun sa façon de voir la vie.
Lorsqu’on me montre le moindre signe d’affection, je suis tellement embarrassée que je me met à renvoyer balader ceux qui m’ont complimenté, ou alors je fais l’effort de montrer une partie sentimentale cachée en moi, mais cela ne dure jamais longtemps. Que dire de plus ? Je pense en avoir beaucoup dit pour le moment, je me remettrais à écrire plus tard. En espérant que les fautes d’orthographes n’est pas gênée qui ce soit.

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2013-09-09T21:12:21+02:00